Mangrove Forest, Pichavaram Mise en ligne le 14 août 2010 Mangrove Forest Pichavaram, Tamil Nadu, India © phb.me :: http://www.phb.me
Quittons le Saradharam temple
Pour Pichavaram et son embarcadère.
Deuxième plus grande mangrove du monde,
Merveille d’écho système, amortisseur à tsunamis.
La vie là enracinée, empalétuviée.
Embarquement.
La mangroove son silence musical à la rame,
La barque lisse se glisse, faufile entre les canaux,
Tunnels à mystères, eaux salines, miroirs aux kingfishers,
Aux cormorans, aigrettes, cigognes, hérons, spatules, pélicans,
Aux solistes siffleurs, aux roucoulades, aux sérénades…
A l’envol si lent de cet aigle envergure tant à l’aise en planeur.
Quatre heures sur l’eau d’ici, quatre d’au-delà…
Végétation aquatique portée par des racines venues d’en haut,
Installations, tressages, antres dressés, nids d’oiseaux.
Une autre Serenity.
Et ce Passeur…
Enfant adulte, maître de jeu de la forêt salée,
Tout petit déjà sur ce lit d’eau entrait,
Jouissait de cette matrice du vivant,
Coque phallus, vagins de verdure,
Allées et venue, plaisir de couler, caresser du regard,
Se frôler, nous trois la barque et elle.
Et tous ces yeux sensoriels présents du visible,
Canon 5 D Mark II, tank Hasselblad, Leica en cellule.
Toucher ces pubis verdoyants, senteurs florissantes.
Le Passeur guide à la godille, au fond le limon filtre is washing new.
Devant, tête de proue, turban sur la tête, Kali cible de ses cinq yeux,
Rec en Sheiffmann.
Le réel, la réal, des poses de bras,
Des good tanni frèscas, une cloppe de trois.
Sommes dans l’instinctinal, the tube,
Avec déjà la marque de l’humain.
Quatre bouteilles dont trois en plastique ça se digère encore.
S’enfoncer dans cette canopée, ce cerveau,
La plus belle des installations.
Lumières douces, Bartok, Perbòsc and you.
Sur le grand canal, jambe d’eau au sortir de la lice,
Lo sourien te calfa lo cap,
Te rostit dès que tu t’accouches de l’arrivée.
Le temps remonte l’ordinaire,
Bientôt le premier hôtel assuré touriste.
Gare…
Pour Pichavaram et son embarcadère.
Deuxième plus grande mangrove du monde,
Merveille d’écho système, amortisseur à tsunamis.
La vie là enracinée, empalétuviée.
Embarquement.
La mangroove son silence musical à la rame,
La barque lisse se glisse, faufile entre les canaux,
Tunnels à mystères, eaux salines, miroirs aux kingfishers,
Aux cormorans, aigrettes, cigognes, hérons, spatules, pélicans,
Aux solistes siffleurs, aux roucoulades, aux sérénades…
A l’envol si lent de cet aigle envergure tant à l’aise en planeur.
Quatre heures sur l’eau d’ici, quatre d’au-delà…
Végétation aquatique portée par des racines venues d’en haut,
Installations, tressages, antres dressés, nids d’oiseaux.
Une autre Serenity.
Et ce Passeur…
Enfant adulte, maître de jeu de la forêt salée,
Tout petit déjà sur ce lit d’eau entrait,
Jouissait de cette matrice du vivant,
Coque phallus, vagins de verdure,
Allées et venue, plaisir de couler, caresser du regard,
Se frôler, nous trois la barque et elle.
Et tous ces yeux sensoriels présents du visible,
Canon 5 D Mark II, tank Hasselblad, Leica en cellule.
Toucher ces pubis verdoyants, senteurs florissantes.
Le Passeur guide à la godille, au fond le limon filtre is washing new.
Devant, tête de proue, turban sur la tête, Kali cible de ses cinq yeux,
Rec en Sheiffmann.
Le réel, la réal, des poses de bras,
Des good tanni frèscas, une cloppe de trois.
Sommes dans l’instinctinal, the tube,
Avec déjà la marque de l’humain.
Quatre bouteilles dont trois en plastique ça se digère encore.
S’enfoncer dans cette canopée, ce cerveau,
La plus belle des installations.
Lumières douces, Bartok, Perbòsc and you.
Sur le grand canal, jambe d’eau au sortir de la lice,
Lo sourien te calfa lo cap,
Te rostit dès que tu t’accouches de l’arrivée.
Le temps remonte l’ordinaire,
Bientôt le premier hôtel assuré touriste.
Gare…