DiptyqueS China
Chengde Merkat
Chengde (承德 ; hanyu pinyin : Chéngdé) est une ville de la province du Hebei en Chine. Sa population était estimée à 700 000 habitants en 2001. (source wikipedia)
patricia huchot-boissier
#packshot et #reportage #phb Le packshot (ou pack shot), est une photographie de haute qualité d’un produit sur un fond le plus souvent uni servant à présenter le produit sur catalogue, sur un site web ou encore dans une démarche de contrôle qualité au sein d’une entreprise. Vous avez des objets à photographier, (pack shot), […]
Lire la suite#phb #collioure www.phb.me #flipagram créé avec @flipagram. Voir la vidéo intégrale sur flipagram.com/patricia.huchot.boissier Une vidéo publiée par patricia huchot-boissier (@phbme) le 18 Mars 2015 à 4h11 PDT #PAINTINGPHOTO Collioure…. Vous, Milan Strada, Marie Hi, Jean-Jacques Pinto et 3 autres personnes , Elena Privitera Enpleinair et Aici Mai, Mathias Strecker, Philippe Pitet, LeMelonrouge Francesc et 2 autres personnes Nikola Pevicharov, Francesco Sacripanti, Elizabete Atāls, Aleksandrs Sahovs, et 6 autres personnes […]
Lire la suiteMES PRESTATIONS PHOTOGRAPHIQUES / PICT & WEB VIDEO MARKETING / #portrait #packshot et #reportage #phb PHB création :: Photo, Vidéo, Web Marketing. Travail sur la promotion web dans différents réseaux. Design du visuel sur la base des éléments fournis Mise en ligne sur les réseaux Facebook, Tumblr, Twitter, Vine, Pinterest, Instagram, Google+…. Campagne de […]
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Chengde Merkat
Chengde (承德 ; hanyu pinyin : Chéngdé) est une ville de la province du Hebei en Chine. Sa population était estimée à 700 000 habitants en 2001. (source wikipedia)
La Villa … Soleil Levant
Avant-Propos
Rien à voir avec la maison bleue. Ici, c’est dingo bûcherons. Soleil levant la vie là poursuit son début.
L’époque et l’épopée. Villa primaire.
Combien sont-elles en ce territoire prisé ? Une chance pour la science du vivant, un must, un terroir d’exploration, un champ de découvertes… Georges y est partout et Catherine en star.
Tout voir. Du sous sol au grenier ce n’est qu’ oeuvre, accumulation, installation, quotidien singulier, ordinaire d’un temps primal. Cris en scène derrière l’image, photographies hantées, entendez…
Rencontres d’écritures, lumière et lettres, être.
Patricia Huchot-Boissier photographie le vivant, filme son oeil repli-coeur. Son ça voir nous laisse là voir des traces, crasse nourricière, plasma de cultures, élixir suprême, la vie du vrai à usage de faux. Un sceau. Chaque image en est un. Derrière, griffée de silence, Philippe Joseph Gaillard écrit son conte, nouvelle raconte, miroite le tableau vivant.
Jacme
d…Ustensile, objet quotidien, je devrai dire phénoménologique, ces objets m’ ont toujours rappelé les flacons du vin présentés aux fidèles lors de la messe avant la communion. Enfant, je me demandais même si ce n’ était pas de l’ huile que le curé buvait; plus tard, je me suis demandé si ce n’ était pas pour faire enrager les ouailles avant l’ apéritif au retour de la messe dominicale, mais j’ ai toujours eu les idées mal placées.
Il le faut lorsqu’on s’attaque au monde des idées.
C’est un objet sale, sali par l’usage, à l’origine de consommation courante et de grande consommation, mais un objet qui vieillit et qui inspire une photographe, objet-produit à l’origine duquel prit forme ce livre d’images et de textes, d’images de lumière et de textes d’idées.
On evrait écrire par montage un peu comme pour un film, dans le cinéma sur la milanaise.
Même pour écrire, il n’y a outre orthographe, grammaire et syntaxe, de mode opératoire, de règle. … Extrait du texte de Philippe Gaillard
Exposition 2013
de novembre 2013 à mars 2014. Exposition India S... à Germ Louron
Mòstra à Germ-Louron
D’un bout du monde à l’autre
https://www.facebook.com/events/607842525930695/
Germ-Louron. C’est là-haut, sur la route du col de Peyresourde, village au bout de la route, cul de sac de luxe… Là est le Centre de Montagne, l’un des, sinon le plus beau gîte des Pyrénées.
En ses mur Patricia Huchot-Boissier propose ses moments de partage, fulgurances poétiques déclenchées par des rêves, une situation, un objet, une trace, un regard, un son.
« A partir de mon travail plus intuitif que conceptuel, je me laisse guider au gré des rencontres. Travail artistique et photographique lié à quelque chose d’indissociable et d’indispensable for-me… »
A chacun son champ de perception, de captation, de narration… L’important n’est-il pas d’écrire ?
Être au plus proche des gens autorise une grande sensibilité.
Ici, là-bas, l’œil à l’affût.
Voir et rendre visible les invisibles.
Photos réalisées en Inde. Avec un 35 millimètres sur le Canon 5D Mark II, « Rec en Scheffmann », Hasselblad et Leica M6. Pour être au plus proche…
Installation de l’exposition à Germ Louron
novembre, décembre 2013 Installation Polartorrides à La Maison de Retraite Protestante de Montauban
POLARTORRIDES
Patricia Huchot-Boissier A partir de photographies,
duo, duel avec des plasticiens, écrivains, musiciens….
Gallery Photo Installation des Polartorrides
Soli-Solo China
Dali les 3 Pagodes (photo argentique, Hasselblad)
Temple des Trois Pagodes
Chine > Yunnan > Dali > Temple des Trois Pagodes
Le temple des Trois Pagodes : trois hautes pagodes effilées et visibles de loin, dressées dans une sorte de grand jardin, au pied des montagnes. Elles sont le symbole de toute la région de Dali. La plus élevée (69 m, 16 étages), Qianxun Ta, la pagode des Mille Eveils, est aussi la plus élégante. Elle domine ses deux voisines, plus basses (43 m, 10 étages) et moins pures de style. Les pagodes furent érigées aux IXe et Xe siècles. Visite assez chère, certains préfèrent observer les pagodes de l’extérieur.
Balade dans un Hutong Beijing (photo argentique, Hasselblad)
Un hutong (en chinois : 胡同 ; en pinyin : hútong) est un ensemble constitué de passages étroits et de ruelles, principalement à Pékin en Chine.
Hutong est un mot mongol (hottog à l’origine) qui signifie puits, parce que les résidents vivaient souvent près d’une source ou d’un puits.
Place tiananmen, Pékin (photo argentique, Hasselblad)
Soli-Solo India
Comme le dit Jean-Luc Godard : “C’est juste une image ou une image juste ?”
Pour beaucoup c’est juste une image, pour Patricia c’est une image juste.
Devant les photos de Patricia Huchot-Boissier on est frappé par leur intérêt plastique, ce qui n’écarte pas la dimension politique, sociologique.
Mais cela ne l’intéresse pas trop de travailler uniquement sur le concept.
Sur le fond au détriment de la forme.
Et comme je la comprends !
Dans ses photos, il y a l’eau pour le mouvement, le balancement.
Le glissement fluide, comme la mer et le monde tel qu’il devrait être.
Patricia s’attarde sur de menus détails, en apparence insignifiants, avec élégance.
Le résultat est émouvant, ses clichés ne sont pas des clichés.
Patricia enregistre avec une apparente facilité des images d’ici ou d’ailleurs.
Facilité pourquoi pas.
Pourquoi faudrait-il enfanter dans la douleur, cet événement qui n’arrange que les églises, ces refuges de déficients identitaires.
Ou la politique puisqu’il paraît que maintenant ce serait la même chose…
Les églises donc, pour lesquelles, il ne faut pas avoir de facilité dans le savoir, d’ailleurs, il ne faudrait pas de savoir du tout.
Dans la facilité, la virtuosité, le regard est sûr donc libre, il s’est exonéré de la logique productiviste.
Libre.
Pourquoi faudrait-il que le regard et le geste soient laborieux, qu’ils fassent beaucoup d’efforts pour un résultat médiocre ?
Les images de Patricia ne donnent pas l’impression d’être faites avec beaucoup d’efforts.
Tant mieux !
Patricia n’enfante pas dans la douleur, mais dans la couleur.
Couleurs parfois à la limite de la saturation ou “comme” délavées, retravaillées.
Mais non c’est naturel, ce sont les vraies couleurs, les vraies gens.
Patricia s’est aperçue qu’elle continuait un ouvrage commencé une génération plus tôt.
La valeur n’attend pas le nombre des années, mais là, elle a patiemment attendu à qui déposer l’héritage.
Ainsi Patricia qui pendant tant d’années a mis son “moi” entre parenthèses pour œuvrer au service des autres, la musique, les plasticiens, peut maintenant enfin s’occuper de son oeuvre.
Phb. Me, comme mi ?
« Do, ré, mi, fa, sol, la, si, do », ses photos chantent, enchantent.
« Me » comme mis en garde :”Attention j’arrive”, mais en même temps comme mis en confiance : “Ce n’est que moi”.
« Ce n’est que moi », mais c’est déjà beaucoup.
Maintenant donc, si j’ose me permettre de ne lui souhaiter qu’une chose : Bondis Cherry !
Michel Fourcade
Héritière artistique de ma famille selon mon bougre de père (mon grand-père Huchot était photographe, répliqueur durant la guerre de 40) j’ai gardé et développé une approche innée de la photographie. Voila le cadre. Le repère. Le point de départ de tous mes possibles. A chacun son champ de perception, de captation, de narration… L’important n’est-il pas d’écrire ? C’est à Clermont-Ferrand que j’apprends et m’éprends des mes premières prises. « Tiens, avec ça tu iras loin… » Me voici en photographe au Festival Vidéoformes. Puis je met le cap sur Toulouse où, après une période de travail ciblée vers les cérémonies de mariage de différentes cultures, je collabore avec des magasines et autres revues de Jazz, Rock, Folk, Linha Imaginòt… Aujourd’hui, après 10 ans d’OC-TV.net (co-fondatrice) à rencontrer et filmer les prestations de différents artistes du monde entier, j’éprouve le désir de revenir à la photographie de la vie devant sois. De mes nombreux voyages, en Chine, aux Indes, en Turquie, Maroc, Tunisie, Espagne, Portugal, Belgique, Angleterre je veux continuer à témoigner de ces moments intenses passés à partager, saisir des émotions, du sens… Posture. Communication. Passage. Le photographe transmet la photographie… Être au plus proche des gens autorise une grande sensibilité. Ici, là-bas, l’œil à l’affut.